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œuvre du musée

Tête de femme les yeux bandés, allégorie de la mort

Numéro d'inventaire

MOU.00897bis

Situation

En réserve

Précisions sur le numéro d'inventaire

Ce moulage a été réinventorié par erreur sous le numéro MOU.09454 parce qu'il portait un numéro "bis". Il provient de la collection Geoffroy-Dechaume.

Statut

Propriété de l’État, Cité de l’architecture et du patrimoine, musée des Monuments français

Fonds

Geoffroy-Dechaume, Adolphe-Victor : Paris, 29 septembre 1816 - Valmondois, 25 août 1892

Datation

1848-1865

Ce moulage fait partie de la collection personnelle d'Adolphe-Victor Geoffroy-Dechaume. Il est lié au chantier de restauration de la statuaire de la cathédrale Notre-Dame de Paris auquel le sculpteur a participé entre 1848 et 1865.

Description

Dénomination

Description du décor

Tête de femme symbolisant la mort (Apocalypse VI, 8). Nue, les yeux bandés, tenant un coutelas, une femme sur un cheval se cabrant.
Situation dans l'édifice: Premier claveau de la 2ème voussure , côté droit du portail central ( portail du Jugement Dernier) de la cathédrale Notre-Dame de Paris

Matières

  • Plâtre
  • Patiné

Dimensions

Prof. : 18 cm

H : 36 cm; l : 27 cm

œuvre de référence

Tête de femme les yeux bandés, allégorie de la mort

Datation

13e siècle

Emplacement dans l'édifice

Façade occidentale, portail central, fragment d'un claveau de voussure

Edifice de référence

Paris - Cathédrale Notre-Dame

Localisation

Paris, Ile-de-France, France

Datation
3e quart du 12e siècle-16e siècle
Précisions sur l'historique
Notice issue de la base Mérimée : "L'île de la Cité est occupée depuis le 4ème siècle par un ensemble épiscopal (deux basiliques, un baptistère, et la résidence de l'évêque). Au 12ème siècle, l'évêque Maurice de Sully recompose l'ensemble et construit une cathédrale plus grande avec dégagement d'un parvis à l'ouest. Les travaux commencent en 1160 par le choeur. La cathédrale mesure 127 mètres de long, 40 mètres de large et 33 mètres de haut. Elle se compose d'une nef de cinq vaisseaux, d'un transept non saillant et d'un choeur à double déambulatoire. L'agrandissement des fenêtres hautes fait disparaître les rosaces des combles des tribunes. Début de la construction des tours en 1210. Construction des chapelles du milieu du 13e au début du 14ème siècle. Au 18ème siècle, Soufflot fait détruire le trumeau et une partie du tympan de la porte centrale de la façade occidentale pour faciliter les processions. Au 19ème siècle Viollet-le-Duc et Lassus entâment les travaux de restauration."
© Ministère de la culture et de la communication, Direction de l'architecture et du patrimoine, sous-direction de l'archéologie, de l'ethnologie, de l'inventaire et du système d'information.

Mise à jour le 23/09/2020