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œuvre du musée

Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut

Numéro d'inventaire

2010.6.1

Situation

En réserve

Statut

Propriété de l’État, Cité de l’architecture et du patrimoine, musée des Monuments français

Titulaires des droits

Datation

2008

Description

Maquette d'ensemble du LaM (Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut) représentant le bâtiment de Roland Simounet et l'extension de Manuelle Gautrand.

Dénomination

Matières

  • Résine
  • Plexiglas
Techniques
  • Néant

Dimensions

Prof. : 23 cm

H : 2 cm; l : 40 cm

Echelle : 1/1000

Inscription

Néant.

œuvre de référence

Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut

Datation

2002-2009

Edifice de référence

Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut (LaM)

Localisation

Villeneuve d'Ascq, Nord, Nord-Pas-de-Calais, France

Auteurs
Gautrand, Manuelle - 1961 : Architecte
Datation
2002-2009
Précisions sur la réalisation
Projet réalisé.
Lille métropole, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut (LaM) a été inauguré en 1983 et inscrit en 2000 à l’Inventaire supplémentaire des Monuments historiques. Le bâtiment d’origine a été conçu par Roland Simounet. En juillet 2002, un concours européen d’architectes est lancé pour restructurer le Musée d'art moderne et y concevoir une extension dédiée à la nouvelle collection d’art brut. À l’issue de ce concours, Manuelle Gautrand est retenue avec cinq autres candidats, avant d’être désignée lauréate. Le projet de Manuelle Gautrand vient placer ses nouveaux espaces au plus près du bâtiment d’origine. Son architecture se déploie par l’arrière et dévoile progressivement son identité. Adossée à la façade nord, la construction embrasse progressivement dans la plaine, côté est, sous la forme de cinq doigts ajustés à la pente. Bien qu’inscrit dans la continuité du musée existant, le bâtiment de Manuelle Gautrand agit tel une greffe tant le choix d’une architecture organique rompt avec la construction de Simounet. Chacune des cinq excroissances qui le composent se termine par une ouverture plein cadre sur le parc, dissimulée derrière une résille de béton fibré. Doublés d’un sas vitré entièrement ouvert sur le parc, côté sud, ils permettent au visiteur de passer d’une architecture à l’autre, d’une lumière naturelle à une pénombre artificielle, de salles rectilignes et ordonnées à des espaces sinueux et torturés.

Mise à jour le 29/06/2021

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